
Semelles posturales
Supprime les douleurs et rétablie la posture.

Un exemple de nos semelles, un bienfait immédiat et une épaisseur ultra-fine de 2 Mm, permettant leur utilisation sans qu il n y ait besoin de changer de chaussures !
Les semelles posturales ne sont pas des semelles orthopédiques et sont destinées à corriger les déséquilibres du corps dans l'espace en se servant du pied comme porte d'entrée extéroceptive, et proprioceptive.
Le principe de fonctionnement des semelles vise à déclencher des réflexes correctionnel des muscles des membres inférieurs en stimulant certaines zones sous la plante du pied avec l'utilisation de petits reliefs.
Contrairement aux semelles classiques les semelles posturales, n'ont pas pour but de basculer des pièces osseuses, mais d'agir, par voies réflexes, en modifiant l'activité des chaînes musculaires ascendantes.
Les semelles sont compensées d'un relief central situé dans une zone réflexe importante du pied et dont la position est recalculée pour chaque taille de pied. La base du relief est située à la jonction du tiers inférieur du pied donc en regard de zones réflexes aussi bien cutanées que musculaires.
Ce relief est constitué de deux processus polarisants croisés. Ce processus est formé de macromolécules ferro-magnétiques orienté à chaud par laminage.
L'action relief sur la peau et le muscle, s'associe une action bioénergétique réflexe qui permet aux semelles de fonctionner même en l'absence de pression (position assis ou coucher). De nombreuses expérimentations ont permis de mettre en évidence l'action positive des semelles. Ce champ polarisé n'est absolument iatrogène, il peut même être utilisé chez la femme enceinte.
Les semelles posturale ont trois impacts :
1) Action sur la peau Les informations extéroceptives issues de la peau, entrent sur la boucle gamma par les voies polysynaptiques et modifient l'activité (Paillard). Une partie des informations est transmise vers le haut par l'intermédiaire des voies lemniscales (et extra lemniscales) et alerte les ganglions de la base, non sans avoir, au passage, été traitée par le microprocesseur cérébelleux ; il y a donc un ajustement posturale d'origine centrale sur des informations périphériques d'équilibre, car le message est cohérent et symétrique sous les deux pieds.
2) Action sur le muscle Un relief supérieur a 5 millimètres sensibilise le récepteur de Gogli et provoque un réflexe myotactique inverse, alors qu'un relief plus petit entraîne un réflexe myotactique simple. Donc un relief inférieur à trois millimètres entraîne un effet de stimulation des muscles synergiques alors qu'un relief supérieur a cinq millimètres entraîne une inhibition de la chaîne synergique. Le relief central activera par voie réflexe la chaîne des fléchisseurs (court fléchisseur et chair carrée de Sylvius).
Un relief calcanéen interne (adducteur du I) activera la chaîne des adducteurs ; un relief calcanéen externe en regard de l'abducteur du V, entraînera une stimulation de la chaîne des abducteurs.
3) Action sur les zones réflexe Sur un niveau bioénergétique, nous avons constaté dans le cadre de la plante du pied, les différentes régions de réflexes qui nous ont permis de mettre en évidence les zones réactives cutanés. Les zones stimulé ont le potentiel d'affecter la proprioception des muscles du pied résultant a des changements dans l'activation de chaîne ascendantes.
En fait, ces semelles sont principalement extéroceptives; elles agissent principalement sur la peau et secondairement sur les fuseaux neuromusculaires des muscles impliqués.
Les modifications posturales sont suffisamment importantes pour être observables cliniquement.
L'intensité de la correction dépende des autres capteurs éventuellement déréglés. On note également une récupération de force musculaire dans les territoires préalablement déficitaires, ainsi qu'une modification de la vascularisation dans ces mêmes territoires. Des expérimentations sont présentement en cours a l'aide d'un laser-doppler permettant une étude précise de la microcirculation.